[Collaboration : Récit RP] La Fureur d'Helemeth

Inspecteur Knos

« Inspecteur Knos ! Inspecteur ! »

« Oui ? Qu’y as t’il Oroto ? »

« Un… un message d’un certain Thom d’Ascalon… il dit… »

« Donne moi ça, je sais lire ! »

Cher Inspecteur Knos, vous ne me connaissez certainement pas, mais moi oui. J’ai eut vent de vos talents par ma cousine, qui l’a sût du frère d’un ami de son mari, qui est d’origine Canthienne. Bref, je vous écrit cette lettre car… il se trouve que cela fait un moment que j’entend des bruits étranges provenant de chez mon voisin, Mr Helemeth… mais ce qui m’a convaincu de vous écrire, c’est que j’ai retrouver hier soir, le cadavre d’une femme meurtrie, les yeux arracher, le crâne ouvert et d’autres atrocités dont je vais vous épargner les détailles… beaucoup d’indices laisse penser qu’elle à tenter de s’enfuir. Tout ça pour vous demander… si vous voulez bien faire le déplacement pour enquêter.

Cordialement. Thom d’Ascalon.

« Hum, je vois… et bien étant donné que j’n’ai rien à faire en ce moment, quelque vacances à Ascalon me feront le plus grand bien… va donc mander un navire ! »

« Bien inspecteur ! »

« Mmmm… les temps sont trouble dans le petit village Ascalonnien de Meadora… l’heure est venue pour le grand, le sublime, l’indomptable Inspecteur Knos de reprendre du service ! Ahah.. »

« Inspecteur, une lettre de votre femme . »

« Ah… donnez moi ça ! »

Blablablablablabla… mes vacances en Tyrie de passe à merveille… Blablablablablabla… Par contre je suis outré ! Alors que je me rendais à Deldrimor, un Envouteur des plus suspect à tenter de me violer ! il a commencer par m’attraper le bras, et… et il mes les a liés ! Après il a voulu déchirer ma robe !

« QUOI ?! »

Ma belle robe de soie blanche ! Tu imagine ! Heureusement, je ne me suis pas laisser faire, j’lui ai refiler un coup de pied bien puissant entre les deux jambes et me suis enfuie. Je suis fatigue et je vais aller dormir, je t’écrirait une autre lettre quand j’aurais le temps.

Je t’aime, ta petite marmotte (ta femme quoi…)

Il regardait le jeune homme,accroché au sol, de lourdes chaines le maintenait prisonnier. Il posa son regard sur sa main encore incandescente. Il émit un petit rire cruel lorsqu'il se revit en train de poser sa main de flammes sur le visage du garçon. Comment la peau avait crisser avant de tomber en miette. Il se délèctait de ce moment. Il cria:

-Feinha, ou est tu passée? Ton frére à grand besoin de toi!

Une cavalcade se fit entendre à l'étage supérieur. Quelques instants plus tard, une jeune femme pénétra dans la chambre, éssouflée. Elle s'avança vers le corps, murmura. La peau flétrie du visage du garçon retrouva son aspect. Lorsqu'elle se pencha, il regarda en souriant ses formes généreuses.

Quelques instants plus tard, elle repartit. Maintenant, il fit apparaitre un bloc de givre. Et commença à le faire glisser le long de la jambe de l'homme.

-Cousin ! Cousin ! Mon jeune cousin, aide moi !

Le rodeur accouru aux cris, déboulant dans une pièce raffinée dans laquelle l'attendait Amras, appeuré.

-Par Mélandru, que se passe t-il ici ?

-Isil ! Ah ! Mon jeune Isil ! C'est Nahlie ! Regarde ! Elle est morte !!

L'envouteur semblait réellement choqué, il y avait un lit derrière lui... et une femme y gisait, le visage éternellement figé par une peur fatale.

-Mais ! Comment ?!

-Je ne sais pas ! Je me suis réveillé et elle était comme ça !

-Ce n'est pas possible... qui aurait pu faire ça ? J'ai passé la nuit éveillé et je n'ai rien entendu, ni rien vu !

-Te rends tu comptes ? Ca fait 14 fois maintenant... je vais craquer, je n'en peux...

L'envouteur n'y tint plus et étouffa sa phrase dans un grand sanglot.
Ce soir là, il avait demandé à son jeune cousin Isil Denacre de veiller sur la maison, par crainte.
Le destin, par 14 fois, l'avait marié et lui avait infligé la douleur de la mort de ses épouses, dès la première nuit de noce.
Ce que le rodeur ne savait pas, c'est qu'il en était de la sorte à chaque conquête, plus ou moins durable, de son cousin Amras.
Ce dernier étant un grand charmeur, il avait coutume de renforcer son style naturel grâce à des talents d'illusion et de domination de l'esprit pauffinés, que certains préfèreraient user en combat.

-Amras, j'ai des contacts important un peu partout... et comme tu le sais je fais parti d'une grande guilde. Je me charge dès maintenant de trouver des gens qualifiés pour enquêter sur ces morts... C'est horrible.

L'envouteur pleurait toujours quand son cousin partit. Ses larmes se séchèrent alors, et il abandonna la bâtisse pour changer de paysage, aller loin, oublier.
Enquêter... le fallait il vraiment ? Cette question commenca à emplir l'envouteur de doutes et de colère. Il savait bien ce qui arrivait à ces femmes. Mais il ne se rendait pas maître de ses pulsions... à force d'essayer d'y résister, il finit par perdre un peu l'esprit, souffrant d'une personnalité à double face.

Mais tout cela, ni Isil qui connaissait bien ce sympathique homme du monde, ni personne, ne l'aurait imaginé.

[Journal de Feinha Helemeth, passage 23, page 52]

« …J’ai longtemps espéré qu’il change [Ecrit Feinha Helemeth] tout avait débuté le jour où mon père était tombé dans un ravin, les deux jambes fracturées. Frère avait peu à peu prit le pouvoir sur moi, sur ma mère, sur la maison. Il fermait la chambre de notre père à double tour, gardait la clef dans sa poche. Père, dans son lit, misérable [Feinha hésite à écrire…] faible…Le pauvre père ne pouvait pas bouger. Ma mère a prit peur et a tenté désespérément de l’arrêter. Lui, qui affaiblissait mon père, Lui qui méprisait ma mère, Lui qui me ----- [Le mot suivant semble rayé, Feinha ne veux que personne ne découvre ce qu’elle a écrit, alors elle perce d’un trou béant le mystérieux mot.].
Voyant qu’elle ne pourrait lutter contre mon frère et ses pouvoirs destructeurs, ma mère s’enfuit de la maison, elle disait qu’elle allait chercher les autorités. De sa main moite, elle avait placé une fleur rouge dans mes cheveux. Une tulipe plus exactement. Ce que je ne savais pas en revanche, à ce stade de mon existence, c’est que cette fleur signifiait le départ et l’abandon. J’ai mis beaucoup de temps à comprendre que ma mère était en réalité partie à jamais. Elle m’avait délaissé aux mains ensanglantées de ce fou, mon père et moi.
Un jour que Frère m’avait enfermé dans son armoire, j’entendis une plainte funeste s’élever dans notre habitacle. Après quelques semaines d’intenses souffrances dont Frère était la cause, mon paternel avait prit congé de son corps meurtrit. Père partit soulagé, ex-martyre de son propre fils…Ce qui ne soulagea pas son âme, c’est l’idée que Frère s’en prenne à moi et ainsi de suite si personne ne réagissait. Je n’ai pas la force de me défendre, j’étais donc à sa merci…Cet être [Feinha hésite à écrire ça, si Frère découvre ça, elle risque d’avoir de mauvaises surprises…Tremblant un peu, elle continue à écrire] malfaisant et répugnant qu’est mon frère. Mais il ne fut pas violent avec moi…Non, il se radouci.
Il m’a quand même obligé à rentrer dans son « jeu ». Il pensait que seul à torturer, il se ferait démasquer. Il fit alors de moi sa complice, en m’obligeant à soigner ses victimes pour les torturer plus longtemps…Je suis prisonnière de ce fou, mon frère ------ [La suite semble inachevée sur cette page. Feinha a sûrement vite rangé son journal, alors que son frère montait la voir.]

[Fin du passage 23, page 52, du journal intime de Feinha Helemeth.]

Inspecteur Knos

Au large des côtes de l’arche du Lion...

- Inspecteur, le port Tyrien est en vue, nous y serons dans une heure au plus tard...
- Bien, et as t’on des nouvelles de ma femme ?
- Non inspecteur, par contre votre maîtresse a envoyé un message par pigeon...
- Quoi ? Ma maîtresse ? Mais voyons comment savez vous que j’ai une maîtresse de 16 ans ? Qui vous a... parlez !
- Je... inspecteur, il s’agit de Mme Aros, votre institutrice au Monastère...
Marmonnant dans un coin...
- Merde... j’aurais pourtant juré... oublions...
Tout haut...
- Donnez moi ça ! Et plus vite que ça ou je vous fait jeter par-dessus bord !
- Oui, mais je voulais quand même vous dire que vous êtes un sombre crétin abrutit et un vant... ARGH...
Knos l’avait transpercé de son poignard... on avais put apercevoir ses globes occulaire s’emplir de sang, avant qu’il ne s’écroule sur le plancher du bateau, raid mort d’un coup porté au cerveau. L’inspecteur récupéra son arme...

- Et que ça vous serve de leçon !

Pendant ce temps dans le port de l’arche...

- Oh oui ! Oh oui... oui... !
- J’ai enfin eut mon nouveau Katana ! Papa, regarde ! Ma commande est arrivé ! C’est beau hein ? dit moi qu’il est beau ?
Un albatros passant par là, prit d’une envie soudaine, se vida sur le pauvre garçon qui hurla de rage et involontairement se transperçât de part en parts cinq fois de suites de la tête aux pieds avec le Katana...
- Ce matériel Canthien est décidément trop tranchant, se dit son père, il faudrait que je pense à ne plus donner d’objets dans ce genre à mes fils, heureusement qu’il m’en reste 45...
Il remarqua alors un bateau Canthien en approche et intriguer décida d’aller le recevoir...

Dans le bateau de l’inspecteur...

- Bande d’incapables je devrais tous vous faire fouetter jusqu’aux os !
Le bateau de l’inspecteur qui avait prit feu cause à ce dernier s’était échoué sur les récifs bordant les grandes tours des rois de Kryte, prenant bien soin au passage de couler les navires de pêche de la baie ou notre brave père de famille l’attendais...
- Bienvenue en Kryte Canthien ! Et bien on peut dire que c’est une entrée spectaculaire !
Il éclatât d’un rire chaleureux, l’inspecteur l’assomma d’un revers de son bâton.
- Envoyez un éclaireur aux portes pour négocier une escorte vers Ascalon, et plus vite que ça...
A lui-même...
- Je déteste la mer ...